LAGWAGON + USELESS ID + STRAIGHTAWAY + HOGWASH

Par · Publié le 4 juin 2012 à 16h39
Après 13 ans sans passer dans notre chère capitale, Feuzeul Booking, Craze Records, Sick My Duck et Bad Bear sont fiers de vous annoncer que la bande à Joey Cape viendra poser ses amplars sur la scène de Petit Bain et seront accompagnés des isreliens de USELESS ID et des locaux de STRAIGHTAWAY et HOGWASH ! Quelle belle manière de dire bonjour à l'été avec un joli parfum de 90's... !

Mercredi 20 juin
LAGWAGON IS BACK IN PARIS avec
LAGWAGON (US / Live)
+ USELESS ID (Israel / Live)
+ STRAIGHTAWAY (FR / Live)
+ HOGWASH (FR / Live)
Punk / rock
19 h - 20 € (16 €* en prévente
*(hors frais de loc)

LAGWAGON
Originaire de Goleta, Californie, et originellement appelé Section 8, le groupe change de nom en 1990 et opte pour Lagwagon. Les 2 premières années sont surtout marquées par les changements incessants de line-up puis (et surtout) par la rencontre du combo avec Fat Mike qui les fait tout de suite entrer dans Fat Wreck Chords.
Etant un des piliers fondateurs du célèbre label depuis ses débuts, Lagwagon ne l’a jamais quitté depuis... A l’époque de la sortie de Duh, seuls Joey (chant), Chris (guitare) et Jesse (basse) de la formation actuelle sont déjà présents. Dès la sortie de ce premier opus à part entière, le groupe figure comme une tête de proue au niveau des ventes, au même titre que Nofx (ou No Use For A Name).
Marquant le punk rock de ses mélodies rapides, la joyeuse bande récidive avec Trashed puis Hoss avant de présenter un son plus mâture et moins rentre-dedans avec Double Plaidinum qui connaît par ailleurs un énorme succès. Entre temps, Derrick Plourde (batterie) avait déjà laissé sa place à Dave et Ken Stringfellow (ex Posies) était venu occupé la position de guitariste vacante. Chris, un autre RKL rempile peu après (en remplacement de Ken) pour enregistrer Let’s Talk About Feelings. A ce moment là, la troupe a tourné dans une grande partie du globe.
Le besoin d’une longue pause se fait ressentir (permettant aux side projects de fleurir au sein du groupe) et ce n’est que 5 ans plus tard, que l’on retrouve un véritable nouvel album de Lagwagon : Blaze. Avec ce cd, le groupe retourne en quelques sortes à ses premiers amours sans pour autant délaisser ses influences récentes. S’en suit un live en 2005, issu de la collection Live In A Dive de Fat Wreck, qui préfigure la même année, Resolve, album marqué du sceau de la tragédie ; Derrick Plourde, l’ancien batteur et meilleur ami de Joey Cape s’étant donné la mort durant la période de l’enregistrement. 2008 renoue avec un Lagwagon moins triste et un EP en guise de clin d’oeil au temps qui passe : I Think My Older Brother Used To Listen To Lagwagon.
  http://www.facebook.com/pages/Lagwa...

USELESS ID
Marrant comme on pourrait penser que Useless ID possède la vingtaine éternelle à les voir en photos et à les écouter. En images ou en musiques, les israéliens gardent en effet cette fraîcheur indécollable. Et pourtant, c’est en 1994 que Useless ID a posé les premières pierres de son édifice.
L’affaire est d’abord locale et familiale. Le groupe joue principalement à Haifa, sa ville natale et sort ses deux premiers opus - Dead’s Not Punk (1997) et Get in the Pita Bread Pit (1999) - de manière indépendante via le label auto-créée pour l’occasion : Falafel Records. C’est l’occasion qui va permettre au combo de sortir du pays. Le groupe tourne en Europe, au Japon et aux Etats-Unis. C’est là qu’il fait la rencontre de Kris Roe, le frontman de The Ataris. Les deux formations se mettent d’accord pour faire un split : c’est la naissance de Let It Burn (2000). Un de ses titres ("Too Bad You Don’t Get It") est sélectionné pour faire parti de la fameuse compilation Fat Short Music for Short People (99 titres joués par 99 groupes différents dans des formats limités autour de 30 secondes).
Useless ID vient de rentrer dans la cour des grands. Ces événements permettent au quatuor de signer chez Kung Fu Records (The Vandals, Audio Karate) chez qui sort l’excellent Bad Story, Happy Ending (2001), sur lequel on retrouve Kris Roe à la production. Suit en 2003 le chef d’œuvre du groupe, No Vacation From The World qui voit la participation au processus de création de Angus Cook (Bad Astronaut), Joey Cape et Tony Sly (No Use For A Name). Un monument de punk rock mélodique européen. Un autre grand nom de la scène Bill Stevenson des Descendents se charge du suivant : Redemption (2005). Mais en dépit du titre, c’est plus un virage poppy qu’une renaissance auquel on assiste. Malgré ce semi-échec, les israéliens refont confiance à Stevenson et au studio du Blasting Room (Colorado) pour enregistrer leur 6e opus - The Lost Broken Bones – marqué par un retour à quelque chose de plus punk rock et une arrivée chez Suburban Home Records.

Informations pratiques

Dates et Horaires
Du 20 juin 2012 au 21 juin 2012

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    Lieu

    7 Port de la Gare
    75013 Paris 13

    Mots-clés : paris 13, quartier Gare, paris
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