My city zen

Par · Publié le 20 février 2009 à 12h03
Citoyens du monde, si vous lisez cet article, c'est que vous êtes aussi citoyens parisiens. Certes, et alors ? Que peut bien avoir de plus un parisien que n'aurait pas, par exemple (et au hasard), un dijonnais ?

A question pertinente, réponse... :
au mois de mars, le parisien pourra se targuer de pouvoir/d'avoir assister à une cultissime soirée, le citoyen dijonnais non. Le parisien devra pourtant éternel respect et reconnaissance au dijonnais à qui reviendra tout le mérite. Parce que, effectivement, sans même à avoir à casser des œufs, la mayonnaise risque de prendre aisément et la recette d'être à jamais convoitée.

Les ingrédients : un label qui a fait ses preuves, des artistes qui n'en sont plus à leur coup d'essai et une volonté toujours intacte d'explorer de nouvelles pistes.

Fondé en 2001, Citizen, le label en question, est le résultat logique de l'expérience et de l'ambition de son géniteur : Pascal Arbez-Nicolas aka Vitalic. Est-ce bien utile de rappeler que le sieur Vitalic est made in Dijon ? En développant cette nouvelle casquette, le dj déja connu et reconnu dans le milieu de la musique electronique, donne toute son ampleur à de nouveaux projets, petits-fères et sœurs, cousins, amis naissent ou se rejoignent autour de Citizen. En 2009, le label est plus que jamais prolifique. Citizen regroupe sous sa houlette des artistes tels que Juan Trip, tHe pEneLOpe[s], Teenage Bad Girl, Monosurround, Arnaud Rebotini, Matzak, [T]éKël, Missill etcetera etcetera...


Tout ce beau monde donc, ou en tout les cas, une bonne partie, s'est donnée rendez-vous le 14 mars, à l'Elysée Montmartre, pour une soirée placée sous le signe de la citoyenneté. Logique. Conclusion : avec la moutarde et Citizen, le score est pour l'instant de 2-0.






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