Krzysztof warlikowski - sorties & activités

On s'en va de Krzysztof Warlikowski au Théâtre de ChaillotOn s'en va de Krzysztof Warlikowski au Théâtre de ChaillotOn s'en va de Krzysztof Warlikowski au Théâtre de ChaillotOn s'en va de Krzysztof Warlikowski au Théâtre de Chaillot

On s'en va de Krzysztof Warlikowski au Théâtre de Chaillot : à voir absolument !

On ne manque surtout pas 'On s'en va' la nouvelle création de Krzysztof Warlikowski au Théâtre de Chaillot. Une adaptation de la pièce de Hanokh Levin qui interroge le désir de fuite que peut susciter en nous le monde contemporain. On prend vite nos places car le spectacle reste à Chaillot quatre dates seulement du 13 au 16 novembre 2019.

"un tramway" de passage

"Un Tramway" de Krzysztof Warlikowski, se joue sur les planches du théâtre de l'Odéon depuis le 5 février dernier. Jusqu'à maintenant, la pièce récolte des avis plutôt mitigés. "Un Tramway sans désir, avec une Isabelle Huppert, certes admirable, mais dans un spectacle encore trop frais", pouvait-on lire dans le Nouvel Observateur. "Une version très libérée du tramway nommé désir d'Elia Kazan avec une adaptation très recentrée sur le personnage de Blanche, incarnée par une Isabelle Huppert magistrale, Trop?" écrivait Télérama. Sortiraparis a voulu se faire sa propre opinion et a donc pu assister à l'une des nombreuses représentations du Tramway.

Isabelle huppert remonte sur les planches dans "un tramway"

La mode est relancée, les actrices se lancent à l'assaut des théâtres. Récemment SAP vous parlait de Juliette Binoche dans le spectacle In-I. Nathalie Baye était sur les planches, en 2009, dans une pièce, aux avis mitigés, Hiver de Jon Fosse. Enfin, Audrey Tautou fera, elle, ses premiers pas sur scène dans quelques semaines, dans Maison de poupée. Une autre actrice montera également sur les planches cette année : Isabelle Huppert.

(a)pollonia au théâtre national de chaillot

Révélation ces dernières années des scènes européennes, Krzysztof Warlikowski ose un théâtre de la démesure qui se confronte au réel. Dans (A)pollonia, bourreaux et victimes ont leur place. Et les mots de frapper comme autant d’uppercuts.