Comme en 2022, la poussière de sable du Sahara débarque cette semaine en France et à Paris, pendant une vague de chaleur tardive, ce qui risque d'aggraver les effets de la température sur les organismes.
Selon une enquête publiée par "Marianne", les 6400 tonnes de fer qui composent la Tour Eiffel seraient menacés par la rouille. A tel point que cela met en danger la sécurité du monument, dont la maintenance laisserait clairement à désirer.
Ce samedi 18 juin, les 40 degrés pourraient être dépassé, ce qui en fait la journée la plus chaude de l'histoire de France lors du mois de juin. Pour faire face à cette importante vague de chaleur, la ville de Paris a mis en place de nombreuses actions.
Pas d'inquiétude ces prochaines semaines si vous voyez voler un avion à basse altitude dans le ciel de Paris et de l'Ile-de-France, il y est autorisé et s'occupe d'une mission importante : mesurer la qualité de l'air de la région.
Ces derniers jours, vous n'avez pas pu manquer ce ciel jaunâtre et les particules laissées sur les voitures. Liées au sable du Sahara, elles contenaient entre autres du césium 137, un élément radioactif.
L'association Respire a indiqué que le niveau de pollution de la majorité des écoles franciliennes se situait bien au-delà des recommandations de l'OMS. Les enfants sont-ils en danger ?
Une étude menée par Airparif révèle qu'il y a "2 à 3 fois plus de particules ultrafines dans les zones urbaines et périurbaines que dans les zones rurales."
La pollution de l'air a provoqué 307 000 décès prématurés dans l'Union européenne en 2019. Un chiffre en baisse par rapport à l'année précédente mais qui reste très élevé.
La Mairie de Paris a souhaité avec ce dispositif réduire les nuisances sonores et la pollution de l'air autour des écoles mais également améliorer la sécurité des élèves, pour la rentrée.
C’était une décision attendue par plusieurs associations environnementales. Ce 4 août 2021, le Conseil d’État a condamné l’État français à payer 10 millions d'euros pour ne pas avoir suffisamment agi contre la pollution de l’air.
Des niveaux de pollution dangereusement hauts, et des effets néfastes sur la santé des voyageurs : c'est ce que dénonce l'association Respire, qui a déposé plainte contre la RATP ce mardi 23 mars.
C'est un spectacle désormais familier : un ciel jaunit par le sable du Sahara, et des espaces recouverts de poussière. Ce phénomène n'est cependant pas anodin : les poussières de sable transportent avec elle des virus et autres agents invisibles mais nocifs pour la santé.
C’est une triste étude que The Lancet a dévoilé le 19 janvier 2021. Selon la revue scientifique britannique, Paris se situerait au 4e rang des villes européennes où la pollution de l’air tue le plus. Chaque année, la capitale française recense 2 500 décès prématurés liés au dioxyde d’azote.
En dépit du ralentissement industriel causé par les deux confinements en France, l'augmentation de la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère se poursuit en 2020.
Contrairement au premier confinement au cours duquel la pollution de l'air avait baissé de 70% à Paris et en Ile-de-France, Airparif observe une baisse bien moindre de la pollution due au trafic routier pendant le reconfinement.
Selon une récente étude publiée ce mardi dans la revue spécialisée Cardiovascular Research, la pollution de l’air ambiant pourrait influer sur les patients atteints du Coronavirus et pourrait ainsi augmenter la mortalité par Covid-19 de 15%. On vous en dit plus.
Une étude du Centre de Recherche sur l’Energie et la Qualité de l’Air révèle que le retour de la pollution à Paris est le plus brutal parmi toutes les métropoles européennes.