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· Publié le 29 juillet 2008 à 10h09
Le ministère polonais de la Culture a refusé une analyse de l'ADN du cœur du compositeur Frédéric Chopin, demandée par des scientifiques pour tenter de révéler le secret de sa mort prématurée, a annoncé lundi un porte-parole du ministère, Piotr Szymanski.
Jusqu'à présent, il était admis que le pianiste, né en 1810 près de Varsovie, était mort d'une tuberculose à Paris en 1849. Son cœur, préservé dans de l'alcool depuis près de 160 ans, est abrité dans une église de Varsovie.
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