La folle journée de nantes : du paris mais pas à paris

Par · Publié le 26 janvier 2009 à 0h
"Là, c'est La Passion selon Saint Jean", explique radieux René Martin, créateur du festival nantais La Folle Journée, en entendant deux jeunes du groupe Robotnik répéter une version underground de l'œuvre de Bach, guitare électrique et clavier en main. Sur la scène de la maison de quartier Doulon à Nantes, huit groupes de jeunes Nantais travaillent des versions revues et corrigées façon métal, rock ou hip hop des œuvres de Bach, qu'ils présenteront au public pendant la Folle Journée (28 janvier-1er février).


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