À travers des textes racés, Askehoug raconte de façon délibérément provocante, les pérégrinations d'individus trop romantiques pour ne pas être balayés par leur propre existence, dont la mégalomanie souffre d'une maladresse congénitale. Une sorte d'autoportrait déformant en somme, alliant rythmique hip-hop et orchestration, hargne urbaine, trivialité et bonnes manières.