Immobilier à Paris : voici la rue la plus chère de la capitale

Par Caroline de Sortiraparis · Photos par My de Sortiraparis · Publié le 21 avril 2023 à 12h17
Alors que les prix de l’immobilier ont encore baissé dans la capitale en l'espace d'un an, la plateforme Meilleurs Agents a dévoilé le classement des rues les plus chères de France. Sans surprise, les rues de Paris occupent les premières places. Mais à votre avis, dans quel quartier se trouvent les rues les plus onéreuses de la capitale ?

Quelle est la rue la plus chère de Paris ? Comme le relaie Le Parisien, la réponse nous est apportée par Meilleurs Agents. La plateforme en ligne des estimations immobilières a levé le voile sur le classement des rues les plus chères de France (prix au 1er avril 2023). Vous vous en doutez, c’est dans la capitale que se trouve la rue la plus onéreuse de l’Hexagone. Mais dans quel quartier exactement ? Avec un prix moyen au m² estimé à 23.002 euros, le quai des Orfèvres, situé le long de la Seine sur l'île de la Cité dans le 1er arrondissement, remporte la palme et monte sur la première marche du podium des rues les plus chères de Paris. 

Ce lieu, qui a abrité pendant longtemps la Direction régionale de la police judiciaire, devance la rue de Furstemberg (22.582 euros/m²), nichée dans le 6e arrondissement de la capitale, puis la rue Guynemer (22.483 euros/m²) située elle aussi dans le très touristique 6e arrondissement.

En 4e et 5e position de ce classement établi par Meilleurs Agents, on retrouve respectivement la mythique place Saint-Sulpice (21.982 euros/m²), puis l’incontournable avenue Montaigne (21.786 euros/m²), dans le très chic 8e arrondissement. 

Avec trois rues situées dans le 6e arrondissement, ce mythique quartier parisien est d'ailleurs en tête des arrondissements les plus chers de la capitale avec un prix moyen au m² estimé à 15.228 euros. Juste derrière, on retrouve le 7e arrondissement (14.438 euros/m²) puis le 4e arrondissement (13.161 euros/m²). 

Selon Meilleurs Agents, les prix de l'immobilier à Paris ont enregistré une baisse de 3,9% en l’espace d’un an. « Et aucun type de biens n’est épargné par cette rapide érosion des prix parisiens », ajoute la plateforme, qui précise dans son baromètre national des prix de l’immobilier que les petites surfaces sont particulièrement touchées, avec une baisse estimée à 4,3% au cours des douze derniers mois « tandis que les grandes surfaces ont reculé de 3,4% ».

 

 

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Mots-clés : actualité paris
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