« Aucun à priori ni préjugé moral, aucune répugnance ni pudeur ne sauraient présider à la beauté. L’humain me fascine, il est partout, sous forme que Dieu ou la Nature lui ont donnée, la gestation comme l’agonie. Comment l’exprimer ? Qu’il s’agisse de l’acide jeunesse, de la pulpe de la maturité, de l’épuisement de la sénescence, le squelette, toujours est essentiel. C’est la potence de la sculpture, donnant le volume qui sous-tend la vie… »