Loin du répertoire pop rock qui fait sa gloire, Sting travaille depuis deux ans avec un luth authentique les mélodies du compositeur de l’ère élisabéthaine, un univers qui, avoue-t-il, « le hante depuis un quart de siècle ». Avec une totale sincérité, l’artiste replace ces chansons dans leur contexte pour que quelqu'un qui ignore tout de Dowland, qui ne connaît rien de l'époque, se sente immédiatement concerné. Sting est aussi en symbiose avec cette mélancolie diffuse, qui est l’occasion pour lui d’une méditation sur la mort et le temps qui file.
Sting : voix
Edin Karamazov : luth
Horaire: 20h00
SALLE PLEYEL
252, rue du Fg St-Honoré
75008 PARIS
© Kasskara / DG