Bonzom explore les méandres du sentiment amoureux jusqu'à l'absurde, la folie, le rêve, l'extase. Il transforme la vie avec jubilation, la tord, la malmène, la chatouille pour rendre ce que l'on connaît différent et décalé. Parfois l'homme se prend les pieds dans le tapis et flirte alors avec l'univers de Buster Keaton ou de Tati. Il chante avec gourmandise la candeur, la drôlerie et l'immense solitude des hommes. Dès lors, on prend son temps, on savoure, on apprécie l'amertume et le bouquet. On ne se baffre pas, on se délecte. Chant, Christophe Bonzom, Guitares, Pierrick Hardy.
Le mercredi 9 avril 2008, 20h30.
13 euros