Le Théâtre de la Colline, situé à deux pas du cimetière du Père-Lachaise, fait partie des six théâtres nationaux. Sa programmation est aujourd'hui axée sur des pièces modernes datant du XXe et du XXIe siècle.
Au Théâtre de la Colline jusqu'au 21 juin 2019, on présente Fauves, le nouveau spectacle du directeur des lieux, Wajdi Mouawad, qui questionne l'amour et le moment où tout bascule en barbarie.
Alors que du côté de l’Odéon, les adieux de Jean-Luc Lagarce habitent le plateau du théâtre national, du côté de La Colline, Edouard Louis – qui s’est inspiré de l’œuvre de Lagarce pour son nom de scène, Louis – voit son livre 'Qui a tué mon père' adapté et interprété par Stanislas Nordey.
"Qui a tué mon père", le livre d'Edouard Louis qui a défrayé la chronique en 2018 est déjà adapté au Théâtre de la Colline par Stanislas Nordey qui interprète le rôle du fils et narrateur. Un monologue puissant à découvrir du 12 mars au 3 avril 2019.
Dans le cadre de Japonismes 2018, le Théâtre National de la Colline présente l'adaptation de Yukio Ninagawa du célèbre roman initiatique de Haruki Murakami, Kafka sur le rivage, du 15 au 23 février 2019.
La metteure en scène, auteure et interprète espagnole Angélica Liddell s'inspire de l’œuvre fondatrice de l'écrivain américain Nathaniel Hawthorne, "La Lettre écarlate", pour créer "The Scarlett Letter", spectacle qu'elle présentera au Théâtre de la Colline du 10 au 26 janvier 2019.
A l'heure des fêtes de fin d'année, le Théâtre de la Colline programme Dormir 100 ans, le spectacle jeune public de Pauline Bureau du 11 au 23 décembre 2018, lauréat du Molière 2017 du spectacle jeune public.
Satoshi Miyagi met en scène "Révélation Red in blue trilogie" au Théâtre de la Colline à compter du 20 septembre 2018, un texte théâtral de la femme de lettres franco-camerounaise Léonora Miano, notamment reconnue grâce au succès de son roman "La Saison de l'ombre".
Désormais directeur du Théâtre National de la Colline, Wajdi Mouawad présente jusqu'au 11 avril sa deuxième pièce de la saison. Après "Tous des oiseaux", le québécois met en scène "Notre innocence", un spectacle intelligent et révolté qui ne réussit pourtant pas à atteindre une autre de ses intentions, nous toucher.